Les conseils du blog Ma-bague-de-fiancailles

Aujourd’hui, nous vous proposons un voyage dans la blogosphère et de découvrir un site de conseils en matières de bagues de fiançailles : Ma-bague-de-fiancailles.com. Lancé il y a un peu plus d’un an et en grande partie basé sur le partage d’expériences, le site vous accompagne dans le choix de votre monture ou encore de votre pierre. L’équipe rédactionnelle a ainsi mis sur pied 5 rubriques que nous détaillons ci-dessous.

La première d’entre elles s’intitule « Fiancées du mois ». Sous la forme d’interviews, de jeunes fiancées reviennent sur la quête leur bague de fiançailles idéale et vous livrent leurs petits secrets pour bien choisir ce symbole éternel de votre amour.
Pour les articles de la rubrique « Alerte cool », la rédaction fait appel à des bloggeuses et/ou des journalistes de la presse féminine. Elles y présentent le processus de création de leur bague ou encore associent les dernières tendances « mode » à la joaillerie.
Dans « Shopping bagues », ce sont cette fois-ci des joailliers et gemmologues qui prennent la parole. La mode étant un éternel recommencement, les auteurs proposent de dresser des ponts entre passé et présent à travers des pièces joaillères célèbres voire emblématiques, de l’Antiquité à nos jours.
La rubrique « Culture Gemmes » observe le même parti pris tout en se centrant exclusivement sur les pierres fines et précieuses. Les rédacteurs vous emmènent ainsi dans le monde méconnu et inextinguible des gemmes.
Enfin, parce que Ma-bague-de-fiancailles.com n’est pas un blog s’adressant exclusivement aux femmes, il contient également une rubrique de conseils pour les fiancés. Dans « Questions de Garçons », le blog aborde des questions pratiques comme le choix du métal précieux, le budget à consacrer, etc., revient sur l’histoire de la chevalière ou encore présente quelques modèles de montres que vous pourriez vous faire offrir par votre fiancée. Pour finir, « Questions de Garçons » met en exergue quelques bonnes adresses joaillères pour concrétiser le rêve de votre dulcinée…

Vous allez prochainement sauter le pas et vous fiancer ? Avant de vous rendre sur notre e-shop, n’hésitez pas à faire un petit tour d’inspiration sur Ma-bague-de-fiancailles.com.

Cameroun : des points focaux pour une maîtrise du circuit du diamant – Ecofin

Lire l’article sur : Cameroun : des points focaux pour une maîtrise du circuit du diamant – Ecofin.

Une année exceptionnelle !

2013, une année exceptionnelle pour le marché du diamant

Les chiffres viennent de tomber : 2013 a été une année exceptionnelle pour le groupe De Beers, numéro un mondial du diamant, qui annonce produire et commercialiser environ 35% des diamants bruts du monde, en provenance d’Afrique du Sud, du Botswana, du Canada et de Namibie. Grâce à la hausse du cours, le groupe a réalisé un bénéfice net de plus de 72%, soit 939 millions de dollars.

Avec une production en légère baisse de 5% soit 31,3 millions de carats, le chiffre d’affaires a progressé de 26% soit 7,38 milliards de dollars, avec une demande qui a progressé de 11 à 13% essentiellement alimentée par la joaillerie en Chine, en Inde et aux Etats-Unis.

Pour 2014, déclare le Français M. Mellier, nouveau directeur général de De Beers, “en dépit des incertitudes, nous nous attendons à une progression continue des ventes mondiales de bijoux en diamants, mais à des niveaux inférieurs à la croissance exceptionnelle vue en 2013”.

Tendances

Tendances

Les tendances de l’année

En forme de poire, de cœur, ornée de diamant ou pas ? Quelles sont les tendances de la bague de fiançailles chez les célébrités ?
Voici 5 exemples qui devraient vous inspirer si vous envisagez de trouver la vôtre !

La bague de Kate Middleton

On ne présente plus Kate Middleton. En plus d’un titre royal, Kate Middleton a également hérité de la princesse Diana un magnifique saphir de 18 carats accompagné de 14 diamants qui encerclent la pierre. Une bague appropriée pour les traditionnalistes qui souhaitent porter quelque chose de bleue le jour de leur mariage !

La bague de Jessica Simpson

La chanteuse américaine de country désormais fiancée à l’ancien joueur de football américain Eric Johnson, ne quitte plus sa bague composée d’un énorme rubis flanqué de deux à quatre carats de diamants. La rumeur dit qu’il aurait caché la bague au fond d’un placard dans une de ses chaussures pour qu’elle ne la trouve pas avant qu’il fasse sa demande. Original …

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La bague de Kim Kardashian

Comment évoquer les tendances bagues de fiançailles sans parler de la merveille portée par l’actrice Kim Kardashian ? Un extraordinaire solitaire rehaussé de deux autres diamants pour un poids total de 20,5 carats, comportant deux inscriptions tirées de la Bible et une gravure “K aime K” (pour Kris aime Kim).

“Cela m’a pris beaucoup de temps afin de trouver les phrases parfaites” confiait le joueur de basket Kris Humphries. On veut bien le croire !

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La bague de Bella Swan

Une bague de fiction mais qui ne demande qu’à devenir réalité ! Dans le chapitre 3 de la saga Twilight, Edward/Robert Pattison va officiellement demander Bella/ Kristen Stewart en mariage en lui offrant une bague magnifique.

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La bague de Anne Hathaway

Nous vous en parlions il y a quelques jours, Anne Hathaway vient de se fiancer et arbore un magnifique solitaire diamant. La tendance est donc toujours et plus que jamais au diamant solitaire !

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Remède de crise

3 bonnes raisons d’investir dans les diamants. 3 critères pour les choisir.

L’or est une valeur refuge, un vecteur d’attente. Vous êtes-vous déjà demandé si le diamant ne serait pas un bien meilleur investissement ?

1. L’or est plus difficile que le diamant à conserver en excellent état. Que ce soit en pièces ou en lingots, l’investissement en or doit être protégé minutieusement. Rayures dues aux manipulations, produit détergents pour le nettoyer, frottement des pièces entre elles etc, avec le temps, l’or peut perdre de son poids et donc de sa valeur. Le diamant, lui, n’a pas besoin de rester enfermé sans être touché. Vous pouvez le sortir et le manipuler à loisir.

2. Le diamant est plus rare que l’or et sa valeur ne peut qu’augmenter. De l’or, on en trouve partout ! Le diamant, lui, est non seulement plus rare mais également plus difficile à extraire et à façonner. La valeur ajoutée est donc plus grande. Sa valeur ne peut qu’augmenter avec le temps.

3. La valeur de l’or est sujette à de nombreuses variations. Vu l’envolée actuelle du cours de l’once d’or, du lingot d’or ou du Napoléon, on peut se demander si la part de spéculation ne fera pas un jour descendre le cours. Et si demain l’once d’or revenait à son niveau de 1980 ou pire à celui de 1971 ?

Dans quel type de diamant investir ?

1. Pour commencer, il faut choisir un diamant d’exception, en termes de poids et/ou dans de taille de couleur et/ou de clarté. Plus le diamant sera de qualité moyenne, plus il sera difficile à revendre. Par symétrie, plus il sera grande qualité, plus il sera facile à revendre.

2. Ensuite, il faut le conserver à l’état de pierre non montée.

3. Il est enfin indispensable qu’il soit accompagné d’un certificat d’authenticité qui détaille ses caractéristiques.

En respectant ces trois critères, vous investirez dans une pierre qui sera très simple à revendre et qui aura pris au fil du temps une réelle valeur. Un bon investissement en période de crise.

Quel est le plus gros diamant du monde ?

Les diamants qui font scandale !

A ce jour, il s’agit d’un diamant sud africain découvert le 26 janvier 1905 dans une mine de diamants sud-africaine exploitée depuis 1904, par Thomas Powell un ouvrier ou pour l’époque devrait-on dire un semi-esclave, hélas, dont nous ne savons pas grand-chose.

C’est le cas du gouverneur des Territoires du Nord-Ouest, au Canada, qui a récemment offert à Kate, une magnifique broche en platine incrustée de 302 diamants et signée Harry Winston. Magnifique objet !

Il s’agit d’un diamant plus volumineux qu’un poing et pesant plus de 620 grammes ! 621 exactement.

Il sera appelé le Cullinan.

L’histoire est racontée de façon quelque peu romancée par Le Point.

« Powell remet aussitôt le caillou au contremaître Frederick Wells de la Premier Diamond Mining Company, lequel s’empresse de l’apporter au propriétaire de la mine, Thomas Cullinan. Toutes les vérifications faites, c’est bien un diamant. Mais que faire d’une telle merveille ? À qui le vendre ? Deux ans après sa découverte, le Cullinan est vendu au gouvernement du Transvaal pour 150 000 dollars, soit le triple de la somme d’achat de la mine par Cullinan. Le Transvaal, après une guerre perdue contre l’Angleterre, compte offrir le diamant brut à Édouard VII d’Angleterre, en guise de cadeau d’anniversaire, et d’apaisement. »

Une autre question de taille, pas de taille de diamant, mais d’importance pour l’époque, comment le faire parvenir à son destinataire ? Les avions n’existent effectivement pas encore.

L’histoire de ce transport vaut elle aussi une histoire à elle seule. La pierre est tout simplement mise à la poste, comme une vulgaire carte postale. A cette époque, qui aurait envie de voler un paquet anonyme ? Ce d’autant que le gouvernement du Transvaal fait courir le bruit que la pierre a été confiée à un détective chargé de la convoyer jusqu’en Angleterre à bord d’un bateau vapeur. L’homme transporte en fait une fausse pierre destinée à appâter les éventuels voleurs.

Le 9 novembre 1907, pour ses 66 ans, Édouard VII reçoit enfin son cadeau. Ce pose alors la question ultime : qu’en faire ? Exposer le diamant encore brut sur la cheminée royale, en guise de presse-papier ? Bien sur que non ! La décision est prise de tailler plusieurs pierres qui rejoindront les bijoux de la famille royale à la tour de Londres.

La tâche revient à l’in des plus célèbres tailleurs de pierres d’Amsterdam, Joseph Asscher. Le diamantaire prend trois mois pour observer le Cullinan sous toutes les coutures. Le 10 février 1908, il s’attaque à la montagne ! La légende prétend qu’avant d’opérer il fait appeler à ses côtés un médecin et une infirmière, en cas de besoin. Après plusieurs mois, le diamantaire livre au roi d’Angleterre 9 grosses pierres et 105 petits cailloux.

• La plus grosse pierre pèse 530 carats et est montée sur le sceptre royal. Elle sera baptisée la Star of Africa (ou Cullinan I).
• Par ordre de taille, on trouve ensuite la Second Star of Africa (Cullinan II) de 317 carats qui orne la couronne impériale,
• le Cullinan III (94 carats)
• et le Cullinan IV (63 carats) qui prennent place sur la couronne de la reine Mary, mais qui peuvent être également portés en broche. Et ainsi de suite…

Une autre légende court : le Cullinan serait en fait une partie d’un diamant brut deux fois plus gros. L’autre moitié resterait encore à découvrir quelque part dans le Big Hole de la mine …

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Le mystérieux diamant

Le mystérieux diamant de l’Armée du Salut

L’histoire est insolite et prouve les grandes valeurs attachées aux diamants.

La semaine dernière, une succursale de l’Armée du Salut a trouvé un objet inhabituel déposé dans l’une de ses célèbres marmites rouges qui reçoivent les dons : un diamant !

Le diamant s’est retrouvé parmi les billets et les pièces de monnaie généreusement donnés accompagné d’une petite note portant le texte suivant « C’est un vrai. En souvenir des bien-aimés Benny et Phillis ».

Les responsables de l’Armée du Salut ont découvert la petite boulette de papier pendant qu’ils comptaient l’argent récolté durant la journée. La bague portant la pierre précieuse en était emballée et a bien failli se retrouver à la poubelle si l’un d’eux n’avait pas eu la curiosité de découvrir ce que pouvait bien contenir la boulette de papier ! Ils sont néanmoins sûrs que le don est bien intentionnel car l’emballage de papier était enveloppé d’un ruban cadeau., contrairement aux boutons, clés et autres objets qui tombent par erreur dans les marmites en même temps que la petite monnaie.

Kevin Slusher , un expert en bijoux, estime le mystérieux diamant et sa monture en or blanc à environ 3,500 USD . Le don tombe à point nommé, au lendemain du bilan faisant apparaître 600 familles supplémentaires que l’Armée du Salut avait prévu d’aider. De quoi changer des vies et de quoi redonner espoir à ceux qui font face à des accidents de la vie.

Le don en diamant, désormais une façon originale de faire œuvre de charité !

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Pourquoi investir dans un diamant ?

Le diamant, une valeur refuge et un investissement durable.

Le diamant est reconnu dans tous les pays du monde, il peut être acquis dans un pays et revendu facilement dans un autre. Il est petit et peut donc être transporté facilement et emmené avec la même simplicité lors d’un incendie par exemple ou d’une catastrophe naturelle. Ce qui n’est pas forcément le cas avec les œuvres d’art par exemple.

Au même titre que l’or par exemple, le diamant constitue un excellent placement dans un contexte économique et financier défavorable aux placements en épargne classique. L’achat de matière première et notamment de diamants semble donc séduire de nombreux particuliers. Le diamant est très utilisé en joaillerie, il représente donc un gros potentiel lors de la revente éventuelle. Fin 2010, en joaillerie et bijouterie, il représentait sur le marché environ 43 milliards d’euros. De plus, le diamant est quasiment indestructible et il peut donc être transmis de génération en génération, sa durée de vie étant presque infinie. De plus, il est possible d’acheter des diamants à un prix largement inférieur aux prix pratiqués habituellement en bijouterie. Ce sera donc un très bon investissement.

Pour être sûr de faire un bon investissement, il est préférable d’acheter son diamant chez les diamantaires, les grossistes ou les négociants. Le secteur du diamant est très contrôlé et bien encadré, le fait de négocier une acquisition avec un spécialiste permet d’en assurer l’authenticité et la traçabilité, mais aussi des prix respectant le marché.

Diamant rose d’australie

 

Le plus gros diamant rose d’Australie offert au Melbourne Museum

Recherchés depuis des siècles pour leur rareté et leurs couleurs magnifiques, les diamants roses sont aujourd’hui principalement trouvés en Australie. Et c’est dans ce pays que la compagnie Rio Tinto a fait une découverte exceptionnelle… Un diamant rose de 8,01 carats y a en effet été trouvé l’année dernière : il s’agit du plus gros gemme jamais découvert dans cette partie du monde !

D’un rose très pâle, ce diamant est similaire au “Williamson Pink”, qui a orné la broche d’élisabeth II lors de son couronnement. Nommé “Argyle Pink Jubilee”, ce diamant rose a été offert au Melbourne Museum par la compagnie Rio Tinto. Et ce don est des plus généreux : les diamants roses mettent en effet plus de 1,8 milliards d’années à se former et valent de véritables fortunes.

En 2010, la compagnie Sotheby’s a dépensé 46,2 millions de dollars pour acquérir le “Graff Pink”, un diamant rose de 24,78 carats ! D’une qualité exceptionnelle, l’Argyle Pink Jubilee est, quant à lui, inestimable… Le directeur de Rio Tinto, David Peever, a refusé de spéculer sur sa valeur : ce diamant semble être trop unique et trop pur pour avoir un prix !

Le Diamant ne connait pas la crise

La conjoncture actuelle de la société a rendu les investisseurs légèrement frileux. Ils souhaitent ainsi se réfugier derrière des valeurs sûres comme l’or et plus particulièrement le diamant. De récentes statistiques montrent que la demande grandit favorisant l’inflation des prix. Ce phénomène est également renforcé puisque certaines tailles restent assez rares.

Le Centre Mondial du Diamant d’Anvers (AWDC) a demandé au cabinet Bain et Company de réaliser une étude. Cette dernière révèle une augmentation de 6% de la demande chaque année jusqu’en 2020. A contrario, le pourcentage de l’offre est beaucoup plus faible et se situe aux alentours de 2.8%. La plus forte demande provient de l’Inde et de la Chine, elle pourrait atteindre 30% du marché d’ici huit ans. Ces deux pays se révèlent être de plus en plus consommatrices de produits répertoriés dans le secteur du luxe.

La hausse des prix est favorisée par un phénomène où la demande est beaucoup plus forte que l’offre. Treize mines ont récemment ouvert dans le monde, pourtant, la production stagne. Le marché du diamant s’envole, notamment celui concernant les tailles importantes de plus de deux carats. Ces dernières sont relativement rares, ce qui renforce davantage l’augmentation des prix de cette pierre précieuse. L’offre risque de diminuer dans les années à venir à cause de l’épuisement des mines. Le leader du secteur, De Beers a confié que ses exploitations atteindront leur maximum à la fin de l’année.

Depuis les années 60, cette production concernait très peu d’intervenants (Russie, Australie, Afrique, Canada). La somme totale investie a atteint en 2012, 133 millions de carats. L’étude réalisée par le cabinet estime une augmentation d’une quarantaine de millions de carats d’ici 2020.

Le diamant demande un investissement assez important, la production est couteuse notamment avec l’étape de l’extraction. Il faut également un réel budget pour engager la découverte de nouveaux gisements. Certains miniers souhaitent ainsi limiter ce type d’activité comme BHP Billiton. Ce dernier a décidé de céder son gisement présent au Canada, son principal concurrent, Rio Tinto le rejoint sur cette démarche. Face à ce coût, certains miniers misent sur le diamant de synthèse. Il a l’avantage de reproduire exactement le visuel, mais avec un prix beaucoup moins élevé.